Du bout des doigts la graphite
Tire des fils angoissés depuis mes
épaules
Mon souffle alimente cette machine
Qui brûle mes tracas
En lettres glacées
Du ventre centre sa sen
S'évacue un vide trop chargé
Qui semble se remplir en même temps
Et pourtant au fond du tombeau des
Naïades
Se trouve le coin malicieux
De mes lèvres
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