Comme une eau vive
-Enfin!-
Les mots coulent le barrage a cédé
Les yeux humides et le cœur craquelé
Fissures
Comme un roc qu'on enlève du pied
Et tout le ventre se met à respirer
Soulagé le torrent de papier
Peut recommencer à couler sa route
Et semer ses doutes
Pleurer ses idées
Et piailler -sans doutes-
Au son du matin frais
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire