Oh
Misère
de l'ironie
Cri
infâme de l'âme fidèle
Pleurs
du juste
Transformés
en armes
J'ai
marché à l'ombre de murs cruels
Jusqu'à
l'assemblée de mes semblables
Jusqu'au
cercle serein
Ils
discutaient
Rêvaient
Espoir
aux lèvres
A
construire leur propre mur
Oh
Misère
de l'ironie
Le
souffle de mon espoir
Me
reste dans la gorge
Il
suffit de marcher libre
Et
laisser les arbres à leurs glands
Et
laisser le temps dans le marbre
Se
souvenir de nous
Mes
amis mes amours
Mes
superbes idiots
Pas
de plan, pas de brasier
Pas
le temps pour espérer
Marche
et rêve
Et
crève enfin
Heureux
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